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Ce fut une preuve supplémentaire de la vivacité du jazz afro-cubain. Ainsi, au cours de ce concert réglé comme à la parade, ces noms déjà connus purent reprendre les thèmes de leur dernier album «Carrousel», balayant un répertoire dépassant le cubanisme historique : en effet, même si rumba et cha-cha-cha figuraient au répertoire, un parfum funky ou quelque broken beat s’installait ici où là... Rappel avec le Wonderwall du groupe Oasis : c’est bien une nouvelle vague cubaine qui enthousiasma Marciac ce soir-là... avec quelques solistes enflammés.
 

• Carlos Sarduy (trompette) Irving Acao (saxophone) Harold López-nussa (claviers, piano) Rolando Luna (claviers, piano) Gaston Joya (basse, contrebasse) Rodney Barreto (batterie) Yaroldy Abreu (percussions)
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