Le Journal

Ici, au cœur de l’été, bien à l’abri de l’air vicié et des ondes négatives, on prend toutes ses aises... On se promène où bon nous semble, certains que le regard en quête de beauté ne sera jamais déçu. On se permet une petite halte à la terrasse d’un bar ou au coin d’une ruelle pour dialoguer sur le concert de la veille, parce que tel est notre bon plaisir. Une autre envie ? On rejoint une galerie pour admirer l’œuvre d’un peintre, d’un sculpteur ou d’un photographe. On s’installe sur la place pour jouir des délices sans cesse renouvelées du festival Bis. On décide de rendre à la cuisine gasconne le digne hommage qu’elle mérite. En début de soirée, suivant notre désir qui n’a cessé de croître tout au long de la journée, on se dirige vers le grand chapiteau pour faire provision de délicieux souvenirs. Liberté, avons-nous dit. Les artistes en sont le symbole. Ils ont pris celle d’inventer leur propre monde. Uniques par leurs créations mais unis par le talent, ils donnent le meilleur pour un public dont la ferveur est telle qu’on le croirait lui aussi sur scène... Pour que la fête soit complète, venez apporter votre propre note !