 
                    Pris de court, pour ne pas dire suffoqué, par l’énergie bondissante de cette artiste rétive aux étiquettes, le chapiteau a voulu se persuader qu’il en avait vu d’autres. Mais non : Veronica Swift est la chanteuse de la rupture, explosive, multi-directionnelle, dangereuse. Son concert où elle mit une grosse dose de rock dans son jazz atomisa quelques robustes certitudes. Mais pas son talent assurément « hénaurme ».
- Veronica Swift (chant) Alexis Angel (claviers, guitare) Kyle Reinhart (guitare) Jonny Heinz (basse) Brian Viglione (batterie)
- veronicaswift.com
 
                    Une recette peut être authentique : c’est ce qu’a démontré avec sa générosité habituelle le désormais très populaire Gregory Porter. Répertoire mêlant quelques succès de ses derniers albums et tubes à haute valeur ajoutée musicale (Papa Was a Rolling Stone (The Temptations), My Girl (Smokey Robinson), It’s Probably Me (Sting), voix de velours jamais rêche, impeccablement contrôlée, musiciens rompus à l’écoute, son d’ensemble minutieusement calibré... bref, le show du chanteur au passe-montagne est devenu un passage obligé pour ceux qui aiment les belles voix qui aiment aussi le jazz...
- Gregory Porter (voix) Tivon Pennicott (saxophone) Ondrej Pivec (orgue) Chip Crawford (piano) Jahmal Nichols (basse) Emanuel Harrold (batterie)
- gregoryporter.com
 
     
                    
                    
                    
                    
                    
                 
                    
                    
                    
                    
                    
                